« Avec la Tesla c’est silence radio », un propriétaire de Tesla Model 3 raconte son Paris-Lyon

Source : Tesla

Voyager de Paris à Lyon est une expérience que des millions de Français vivent chaque année, que ce soit pour le travail, les vacances ou les retrouvailles familiales. Mais qu’en est-il lorsqu’on entreprend ce trajet emblématique au volant d’une voiture électrique ? Vivien, jeune cadre francilien, a récemment franchi le pas en remplaçant sa Peugeot 208 par une Tesla Model 3. Il a accepté de partager avec Tesla Mag son premier grand voyage électrique, riche en anecdotes, en comparaisons et en découvertes touristiques.


Avant Tesla : la Peugeot 208, entre attachement et limites

Avant de plonger dans son expérience en Model 3, Vivien revient sur sa Peugeot 208, une citadine polyvalente qui l’a accompagné pendant plusieurs années. « C’était une excellente voiture pour mes trajets quotidiens. Compacte, facile à garer à Paris, sobre sur route… Mais dès que je devais faire un long voyage, comme un Paris–Lyon, c’était une autre histoire. »

Il se souvient des pleins d’essence qu’il devait planifier : « En moyenne, je dépensais près de 90 € aller-retour en carburant. Et le confort… disons que sur 5 heures de route, on finit par sentir les sièges. » Sa 208 était équipée d’une boîte manuelle, ce qui, dans les embouteillages à la sortie de Paris, devenait rapidement une source de fatigue.

L’insonorisation, elle aussi, montrait ses limites : « Sur autoroute, le bruit du moteur et des vibrations était constant. Avec la Tesla, c’est silence radio. La première fois, ça m’a presque perturbé, mais aujourd’hui je ne pourrais plus revenir en arrière. »


Le choix de la Tesla Model 3

Pour Vivien, passer à la Tesla Model 3 représentait une véritable évolution technologique et un choix rationnel : autonomie suffisante pour les longs trajets, réseau de recharge fiable, mais aussi confort et innovations embarquées.

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« Honnêtement, j’ai longtemps hésité avec une Peugeot e-208, par fidélité. Mais l’autonomie était trop limitée pour moi. Avec la Tesla, je peux partir l’esprit tranquille. C’est un peu comme comparer un smartphone entrée de gamme avec un haut de gamme : les deux fonctionnent, mais l’expérience n’est pas la même. »


Départ de Paris : un trajet préparé par la voiture

Le matin du départ, Vivien lance le planificateur intégré de Tesla. La voiture calcule automatiquement l’itinéraire, prévoit les arrêts recharge et estime le temps nécessaire à chaque pause. « C’est bluffant. Avec ma 208, je devais moi-même chercher les stations, vérifier s’il y avait du monde et ajuster mon trajet. Là, la voiture s’occupe de tout. »

L’itinéraire Paris–Lyon, d’environ 465 kilomètres, prévoit deux arrêts principaux, chacun d’une vingtaine de minutes, idéalement placés pour coïncider avec les pauses café et déjeuner.


Première étape : Auxerre, entre patrimoine et première recharge

À mi-chemin entre Paris et Dijon, Vivien s’arrête au Superchargeur Tesla d’Auxerre. La ville est un véritable trésor touristique : ses ruelles médiévales, son abbaye Saint-Germain et sa cathédrale Saint-Étienne témoignent de son riche passé.

« Pendant que ma Model 3 se rechargeait, je me suis promené un peu dans le centre. C’est agréable de se dire que sa pause recharge peut aussi devenir une découverte culturelle. Avant, avec ma 208, c’était un sandwich rapide sur une aire d’autoroute impersonnelle. »

En 20 minutes, la batterie est déjà à 80 % : suffisamment pour rejoindre tranquillement Dijon. Coût de la recharge : environ 14 €. Une somme modeste comparée aux 45 € qu’il dépensait en essence pour ce tronçon avec sa Peugeot 208.


Dijon : gastronomie, histoire et deuxième pause

Deuxième arrêt, à proximité de Dijon, capitale des ducs de Bourgogne. Ici, la gastronomie et l’histoire se côtoient : pain d’épices, moutarde et architecture gothique attirent chaque année des milliers de visiteurs.

« J’ai profité de cette pause pour déjeuner. La voiture était branchée, et moi j’étais attablé devant un plat bourguignon. C’est exactement ça qui change la perception du voyage : au lieu de subir l’attente, on vit quelque chose. »

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La recharge à Dijon est rapide grâce aux Superchargeurs V3 délivrant jusqu’à 250 kW. « Le temps de finir mon repas, la voiture était prête. Avec la Peugeot, j’aurais dû prévoir un détour vers une station-service, puis faire la queue. Là, tout est fluide. »


Confort et conduite : Peugeot 208 vs Tesla Model 3

Vivien insiste sur la différence de confort entre ses deux véhicules. « Avec la Peugeot 208, après 3 heures de route, j’avais mal au dos. Les sièges étaient corrects pour un usage urbain, mais pas pensés pour avaler des centaines de kilomètres. Avec la Tesla, les sièges enveloppants, le silence de l’habitacle et l’Autopilot font une énorme différence. »

Il raconte une anecdote : « En Peugeot, j’étais constamment en train de surveiller la jauge d’essence, surtout quand je traversais des zones rurales la nuit. Je redoutais de tomber en panne sèche. Avec la Tesla, non seulement l’autonomie est claire et précise, mais la voiture ajuste en temps réel la consommation. Je pars beaucoup plus serein. »


Chalon-sur-Saône : un dernier arrêt stratégique

Avant d’arriver à Lyon, Vivien fait une courte pause à Chalon-sur-Saône, berceau de la photographie avec Nicéphore Niépce. « C’est un arrêt que je n’aurais jamais envisagé avec ma Peugeot. On ne s’arrête pas exprès pour visiter une petite ville avec une thermique. Avec l’électrique, chaque recharge est une opportunité. »

Il visite rapidement le centre historique, bordé par la Saône, et découvre un café artisanal. « C’est exactement ça que j’aime : transformer une contrainte en plaisir. »


Arrivée à Lyon : mission réussie

Après 5 heures de route, incluant les pauses recharge et repas, Vivien arrive à Lyon sans encombre. Capitale de la gastronomie, ville classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle incarne parfaitement le mélange entre modernité et tradition.

« J’ai garé ma Tesla près de la presqu’île, et je suis allé dîner dans un bouchon lyonnais. Le trajet s’est déroulé sans stress, sans imprévu. Je n’avais pas cette tranquillité avec ma Peugeot 208. »


Comparaison économique : essence vs électricité

Vivien a aussi fait ses calculs. Son Paris–Lyon en Tesla Model 3 lui a coûté environ 30 € d’électricité, contre près de 90 € d’essence avec sa Peugeot 208. « Sur un an, si je fais plusieurs allers-retours, l’économie est flagrante. Même si la Tesla coûte plus cher à l’achat, elle se rattrape vite sur les frais d’usage. »

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À cela s’ajoutent les coûts d’entretien réduits : pas de vidange, pas d’embrayage, des freins moins sollicités grâce au freinage régénératif.


Un voyage transformé par la technologie

L’un des points marquants pour Vivien est la technologie embarquée de la Tesla. L’écran central regroupe toutes les informations, l’Autopilot aide à maintenir la vigilance et le système audio haut de gamme transforme l’habitacle en bulle musicale.

« Sur la route, j’ai écouté un podcast d’une qualité sonore impressionnante. Dans ma 208, entre le bruit du moteur et les vibrations, impossible de profiter pleinement d’un moment comme ça. »


Ce que pense son entourage

Sa compagne, d’abord sceptique, a vite changé d’avis : « Elle me disait toujours qu’un long trajet en électrique, c’était risqué, qu’on allait perdre du temps. Finalement, elle a reconnu que c’était plus agréable, qu’on arrivait moins fatigués. »

Ses amis, eux, restent curieux : « Certains me demandent encore si je ne passe pas mon temps à chercher des bornes. Quand je leur explique que tout est intégré, que je n’ai pas besoin de dix applications, ils sont bluffés. »


Conclusion : un Paris–Lyon qui change la perception de la route

Pour Vivien, ce premier grand trajet en Tesla Model 3 a marqué un tournant. « Je n’ai plus l’impression de subir la route. Je la vis. Chaque arrêt est une découverte, chaque pause est utile. Je me sens plus reposé, plus serein, et surtout, je dépense moins. »

De Paris à Lyon, en passant par Auxerre, Dijon et Chalon-sur-Saône, ce voyage témoigne non seulement des atouts de l’électrique, mais aussi d’une nouvelle façon d’envisager les déplacements en France.

La Peugeot 208 restera pour lui une voiture attachante, symbole d’une époque. Mais la Tesla Model 3 a ouvert un nouveau chapitre, où confort, autonomie et découvertes se conjuguent pour transformer la route en véritable expérience.

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2 commentaires

  1. Rien de surprenant mais tout l’intérêt n’est pas du spécialement à Tesla. J’ai le même bénéfice avec une chinoise à bas coût que j’ai payé 31600 €, une MG ZS-EV Luxury, pour laquelle mon premier long trajet a été un Toulouse/Saumur avec un seul arrêt recharge transparent à Limoges durant le déjeuner durant environ 1 heure et une charge qui avait atteint plus de 85/%, après les premiers 300 Km sur autoroute a une vitesse de 120/125 Kmh, puis le reste sur réseau secondaire jusqu’à Saumur. Une excellente expérience qui m’a confirmé qu’il n’y avait plus aucune restriction pour entreprendre de longs trajets en voitures electriques. Une autonomie de l’ordre de 440km WLTP comme la ZS et de nombreux autres modèles dans d’autres marques et l’état du réseau de recharges rapides sont tout à fait suffisants pour répondre à n’importe quel trajet.
    Serge Rochain

  2. A titre d’information le centre ville d’Auxerre est a 9km à pied du supercharger Tesla.
    Les superchargers ne sont pas en centre-ville et l’on n’a pas le temps ni la possibilité de s’y rendre quand l’on charge.
    Cette vision idillique n’existe pas et dans le meilleur des cas la visite se limite au supermarché du coin ou à la zone commerciale…
    Ce témoignage s’assimile surtout à un publireportage!
    Un propriétaire de Tesla depuis 7 ans.

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