5 Bonnes raisons de ne PAS choisir le réseau de recharge Zunder

En tant que vétéran de la voiture électrique – et champion officieux des galères de borne – je me suis penché sur le réseau Zunder, cet opérateur espagnol qui commence à poser ses câbles en France. Spoiler : ça sent un peu trop le sérieux pour moi. Si vous aimez le frisson de l’imprévu et les recharges façon Koh-Lanta, voici cinq raisons hilarantes (mais pas totalement fausses) de snober Zunder et de garder votre dignité d’électromobiliste old-school.

1. Des bornes trop puissantes : fini les siestes improvisées

Avec des stations qui balancent jusqu’à 400 kW, Zunder ne rigole pas. Lors d’un arrêt sur une de leurs bornes flambant neuves en Espagne, ma batterie est passée de 20 % à 80 % en moins de temps qu’il ne m’en faut pour choisir un sandwich à la station-service. Moi qui comptais sur ces pauses recharge pour rattraper mes heures de sommeil ou scroller X en paix, je me retrouve à reprendre la route avant même d’avoir fini mon café. Trop efficace, Zunder, beaucoup trop efficace !

2. Une appli qui marche : où est la joie de la panne numérique ?

Télécharger l’appli Zunder, c’est comme avoir un majordome électrique : tout est clair, on voit les bornes disponibles, et on peut même payer sans sortir de la voiture. Lors d’un essai près de Bayonne, j’ai lancé une recharge en deux clics, sans bug ni message d’erreur mystérieux. Franchement, où est le plaisir de pester contre une interface qui plante ou de supplier un service client en espagnol ? Zunder me prive de mes meilleures anecdotes de galérien.

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3. Un réseau qui s’étend : adieu les détours épiques

Zunder a décidé de coloniser les autoroutes et les grands axes, avec des stations qui popent un peu partout, de l’Espagne jusqu’au sud de la France. Lors d’un trajet vers Bilbao, j’ai trouvé une borne pile où il fallait, sans avoir à faire 30 km de détour ni à inventer une excuse bidon pour ma femme (« non chérie, c’est une quête initiatique »). Ce réseau qui grandit trop vite m’enlève toute opportunité de jouer les aventuriers perdus. C’est presque insultant !

4. Des prix trop lisibles : exit le suspense budgétaire

Chez Zunder, pas de chichi : les tarifs sont affichés, souvent autour de 0,45 €/kWh, et on paie ce qu’on consomme. Lors de ma dernière recharge, j’ai su dès le départ que je n’allais pas hypothéquer ma maison pour 50 km d’autonomie. Moi, j’aimais bien ce petit frisson des réseaux où les prix varient comme le vent, où chaque branchement est une loterie. Zunder, c’est trop carré, trop honnête. Où est le drame ?

5. Des bornes fiables : plus moyen de râler en société

Le pire dans tout ça ? Les bornes Zunder fonctionnent. Genre, vraiment. Pas de câble arraché, pas d’écran noir, pas de « erreur 404 : borne not found ». Lors d’un arrêt impromptu, j’ai branché, ça a chargé, et je suis reparti. Comment suis-je censé briller en soirée avec mes histoires de recharge cauchemardesques si Zunder me facilite la vie comme ça ? Ils me volent mon fonds de commerce de râleur professionnel !

Conclusion : Zunder, ou l’ennemi du chaos

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En résumé, choisir Zunder, c’est signer pour une vie d’électromobiliste sans piquant : des recharges rapides, fiables et bien placées, le tout sans prise de tête. Si vous êtes du genre à préférer les épopées électriques pleines de sueur et de jurons, fuyez ce réseau comme la peste. Moi, je vais peut-être y retourner… juste pour confirmer que c’est toujours aussi désespérément pratique. À vos câbles, et que la foudre vous épargne !

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