Vulog, qu’est-ce que c’est ?

Vulog est une scale-up niçoise fondée en 2006. Elle s’est surtout énormément développée depuis 2016. A l’international notamment, mais aussi autour d’un projet avec des acteurs majeurs de l’industrie automobile tels que Stellantis ou Volkswagen.

Ils équipent via leur technologie (iot embarquée + software de gestion des flottes + data + user app en white label) des services de car-moped-scooter-bike sharing. Ceux-ci sont de toutes tailles, dans plus de 40 villes à travers le monde.

De plus en plus de projets de carsharing avec des Tesla

Ainsi, Vulog est aux premières loges de cette transformation du développement de la mobilité partagée et électrique. En plus d’en être un des activateurs.

Depuis un an ou deux, ils observent et équipent de plus en plus de projets de carsharing avec des voitures de la marque Tesla. Le plus souvent, ce sont des Model 3 ou S. C’est le cas notamment en Norvège (Vy), à Genève (Elise), Vienne (Eloop), et encore plus récemment en Australie (Origin)…

Les Teslas sont pleinement démocratisées, et l’expérience de carsharing devient plutôt « premium ».

On est loin de l’époque Autolib…

Que réserve l’avenir à l’autopartage et aux Tesla ?

Il n’y a certainement pas de bonne ou de mauvaise réponse concernant le modèle le plus approprié à ajouter à votre flotte. Cependant, en ce qui concerne l’ajout de véhicules Tesla, les avantages sont clairs : croissance de la base d’utilisateurs, fidélisation accrue et, finalement, rentabilité.

Lire également :  Les défis de la voiture électrique en 2023 : avantages et inconvénients à considérer

La demande de Tesla est montée en flèche, et les opérateurs d’autopartage tels que Vy, Elise et ELOOP l’ont compris. Chez Vulog, le message est clair, également. Le véhicule électrique le plus populaire au monde peut répondre à divers cas d’utilisation, tout en atteignant des objectifs commerciaux.

De plus, l’aura qui entoure la marque d’Elon Musk est bien plus que celle d’une simple voiture de luxe. C’est une source de revenus légitime, et une solution viable pour réduire les émissions de carbone.

La question n’est plus de savoir si les véhicules électriques deviendront la norme, mais plutôt de savoir dans combien de temps.

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